warrior

Race magique : Que se passe-t-il quand un démon vaudou capture une valkyrie et parvient à la réduire en esclavage ? Un rejeton comme Demetrio, une hybridation qui n'aurait jamais du exister. En tant que sang mêlé, il a hérité de la force de sa mère, de la férocité de son père, et d'un métabolisme ralenti bien qu'il ne soit pas immortel.

Pouvoirs des Valkyries. (niveau 2)
Niveau 1 : force surhumaine. Les poings de Demetrio sont des machines de guerre. Il peut percer la plupart des métaux comme s'il s'agissait de carton.
Niveau 2 : portails de téléportation. A la différence des vraies valkyries, la pierre de Demetrio ne se trouve pas dans un collier dans sur son poignet. Son père l'a gravé à même sa peau.

Dolokinésie. (niveau 1)
Niveau 1 : rendu de la douleur. Chaque coup absorbé par Demetrio est rendu à son agresseur pour peu qu'il puisse trouver ses yeux. Cela ne fonctionne qu'avec les attaques physiques et pas mentales.

Umbrakinesis. (niveau 1)
Niveau 1 : solidication. Demetrio peut attraper les ombres. Au contact de ses doigts, elles deviennent solides et tranchantes. Il peut s'en servir à la manière de lames ou les lancer sur ses ennemis.

Une enfance normale ? Ça n’est pas la manière dont on fait les choses, chez les Stadler. Issu d’une secte démoniaque vaudou dirigée par son père, le démon Bakor, Demetrio a grandi dans le chaos. ((x)) Sa mère avait beau lui répéter dès son plus jeune âge qu’il était le fruit de la plus merveilleuse des relations qui ait existé, Demetrio se contenta de mettre les dires de sa mère sur le compte des nombreux maléfices auxquels elle était soumise. Capturée par son père depuis des siècles, l’enfermement et la magie noire avaient fait d’elle une coquille vide. Elle n’avait plus rien d’une puissante valkyrie. ((x)) Demetrio a été entrainé dès son plus jeune âge à prendre l’avantage de son hybridation rare qui confère à son corps une force, une endurance et des réflexes incroyables. Malgré ces dons certains, il s’est souvent surpris à jalouser certains de ses (nombreux) frères et sœurs pour leurs pouvoirs directement liés à la magie noire. Pourquoi le destin avait-il fait de lui un hybride au lieu d’un démon de sang pure ? Il apprit à user de cette rage pour la mettre au service de ses compétences et ainsi se faire remarquer de son père. ((x)) Demetrio passa son adolescence à vénérer son paternel, comme le lui inculquaient chaque jour les membres de la secte. Il détestait pourtant chacun d’entre eux, qu’il rêvait parfois d’exterminer pour qu’il ne reste plus que loin au service du démon Bakor. ((x)) Lassé de ne parvenir à se distinguer des autres enfants de Bakor, Demetrio décida qu’il était temps pour lui de partir explorer le monde pour raffiner ses techniques et confronter sa violence au monde réel. Il demanda à son père sa première affectation et quitta enfin le foyer infernal à l’âge de 17 ans. ((x)) Malgré les succès des missions que lui confiaient son père, Demetrio réalisa que peu importaient sa réussite. Aux yeux de Bakor, son potentiel n’égalerait jamais celui de ses frères et sœurs. Après un ultime affrontement entre les deux hommes, Demetrio décida de quitter la secte vaudou. ((x)) Sans but et l’âme noircie par ses années au sein de la secte de Bakor, Demetrio n’avait que peu de respect pour la vie humaine. Alors lorsqu’il réalisa qu’il pouvait se faire une petite fortune en devenant mercenaire, engagé par les plus puissants et les plus fortunés pour tuer, il ne se priva pas. ((x)) C’est lors d’un contrat tout ce qu’il y a de plus banal qu’il réalisa qu’il était capable de transformer les ombres en lames aiguisées. Ce n’était toujours pas des boules de feu comme il l’aurait espéré, mais il réalisa qu’il gâchait peut-être son potentiel en ne s’attelant qu’à des missions relativement simples. La communauté magique, baignée dans un climat de violence millénaire, ne manquait certainement pas de contrats plus juteux. ((x)) Il passa les années suivantes à parfaire ce qu’il considère comme son art, sa capacité à ôter la vie. Son ascendant vaudou se matérialisa enfin lorsqu’il découvrit qu’il était capable de faire subir à ses ennemis toute la douleur imposée à son propre corps. ((x)) Cette découverte le transforma du tout au tout. Plus bestial que jamais, son propre corps devint une arme parfaite. Et même s’il n’aurait jamais pleinement sa place parmi les enfants de Bakor, Demetrio était fier de ce qu’il était devenu. Après avoir passé l’essentiel de sa vie à chercher son potentiel, il était enfin parvenu à tracer sa propre route : celle d’un redoutable mercenaire bestial et hargneux, à la frontière de vaudou et du combat à mains nues, capable d’éliminer ses ennemis avec férocité avant même qu’ils ne réalisent la menace qu’il représentait.